Une fois n’est pas coutume, aujourd’hui, je vous propose un article un peu particulier. Il y’a un manga que j’ai absolument envie de pouvoir lire en Français, il s’agit de 5-toubun no Hanayome. Et je vais vous donner 5 bonnes raisons de le voir dans nos libraires.
1 - L’adaptation animée est disponible dans nos contrées
En effet, beaucoup d’entre-nous ont pu découvrir la version animée lors de sa diffusion en Hiver 2019, celle-ci est disponible sur crunchyroll. N’ayant vu que de deux épisodes, je ne pourrai pas juger de la qualité de l’adaptation, mais je sais que l’anime était plutôt coloré ce qui rendait le tout vraiment très joli, même si du coup on arrivait à différencier un peu mieux les soeurs. Ce qui peut poser un problème au niveau de l’intrigue.
2 - Negi Haruba a obtenu un prix pour la série
Negi Haruba fait partie des deux lauréats du 43ème Kôdansha Awards, dans la catégorie Shonen. Quant à l’autre lauréat, il s’agit de To your eternity de Yoshitoki Oima que l’on connaît aussi pour l’excellent manga A Silent Voice (Pika). A noter que le gagnant dans la catégorie shôjo n’est autre que Perfect World de Rie Aruga (Akata). Je sais bien que les autres gagnant ne devrait pas être comparés, mais on peut supposer de la qualité des titres, non ?
3 - Les émotions au centre de l’histoire
Certaines personnes supposent que 5-tobun aura du mal à arriver en France à cause d’un pitch similaire à celui de We Never Learn de Taishi Tsutsui. Seulement, si effectivement nous avons à faire à deux comédies romantiques, et qu’un garçon plutôt pauvre doit faire du tutorat à des jeunes filles, pour pouvoir faire ce dont il a besoin les similitudes s’arrêtent là.
Ce qui fait la force de la série de Negi Haruba, c’est la relation entre les différentes quintuplées que ce soit en temps normal, mais aussi dans le cadre de leurs sentiments. On sent rapidement que le lien entre les soeurs est très fort, ce qui renforce le côté émotionnel du titre. Là où très souvent, dans We Never Learn la bonne humeur prime dans l’ambiance général du titre, ce n’est pas forcément le cas avec 5-tobun avec un protagoniste parfois égoïste et un père de famille qui n’a de père que le titre.
4 - Let the waifu war begin
Bon, je sais c’est un peu cringe et racoleur comme titre, mais il faut avouer qu’avec 5-Tobun, il y a matière à faire, bien que quintuplées, chaque fille a sa propre personnalité, ses propres motivations, mais aussi son propre background. Nous avons :
- Ichika, la “grande soeur”, qui a la fâcheuse manie de se déshabiller en dormant et qui taquine le protagoniste ;
- Nino, celle qui déteste le héros, mais qui a ses raisons ;
- Miku, la fille timide peu sûre d’elle ;
- Yotsuba, la fille un peu simplette, mais rigolote ;
- Et enfin, Itsuki, la fille sérieuse.
Chacun peut donc avoir sa préférée, personnellement, pour moi, c’est Miku. Mais au-delà de ça, chaque lycéenne a le droit à son développement ce qui permet de s’attacher encore plus à elle.
D’autant plus que dès le début du manga, on sait que le protagoniste va se marier avec l’une des filles. L'originalité du manga vient aussi de deviner laquelle. C’est bon une petite guerre qui se profile.
5 - C'est super beau !
Je le redis, mais c’est super beau ! Bien évidemment, certaines planches mettent les filles en valeur, mais aussi Futaro. Puisqu’une image vaut mille mots, voici une sélection des jolies planches du titre.
Regardez-moi ça !
(C) Negi Haruba / Kodansha Ltd.
Personnellement, je fonds !
(C) Negi Haruba / Kodansha Ltd.
Un pour toutes, toutes pour un
(C) Negi Haruba / Kodansha Ltd.
Yukata !!!
(C) Negi Haruba / Kodansha Ltd.
Conclusion
Et voilà, l’article est terminé ! C’était un peu différent de ce que j’ai l’habitude de publier. J’espère que cela vous aura plu et que vous aurez eu envie de lire la vie de ces quintuplées cherchant à améliorer leur moyenne. J’espère vraiment qu’un éditeur nous le proposera en France.
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